Ce soir sur France 2 Capitaine Marleau avec Corinne Masiero et Mylène Demongeot un épisode culte à ne pas manquer

Capitaine Marleau, France 2, Josée Dayan, Corinne Masiero, Mylène Demongeot et le polar français prennent d’assaut la soirée télévisuelle du vendredi 1^er août 2025. La série phare s’invite une fois de plus dans votre salon avec l’épisode « Deux vies », un savant dosage de mystère, d’humour décalé et d’émotions familiales porté par une distribution de prestige.

Capitaine Marleau : la reine du polar populaire française sur France 2

Difficile de passer à côté du phénomène Capitaine Marleau. Depuis des années, la série signée Josée Dayan truste les audiences de France 2, imposant son style unique avec, en tête de proue, la comédienne Corinne Masiero. Ce soir, « Deux vies » nous entraîne dans une sombre histoire de double identité, sur fond de secrets familiaux et de drames intimes : une quadragénaire, Lætitia, alias Pauline, est retrouvée étranglée dans une forêt — et le Capitaine Marleau va s’attaquer à ses zones d’ombre, fidèle à son flair et à ses méthodes atypiques.

L’intrigue, totalement originale, fait la part belle à des thématiques chères au genre : la fuite du passé, l’usure du mensonge et le poids des secrets. Marleau, toujours affublée de sa chapka désuète et de ses punchlines savoureuses, évolue ici aux côtés de Gustave Kervern, Marina Golovine, la regrettée Mylène Demongeot ou encore Pascal Légitimus. Cet alliage de visages iconiques et d’écriture affûtée donne à chaque nouvel épisode un parfum d’événement.

Capitaine Marleau et Josée Dayan : une mécanique de suspense pop et cérébrale

Derrière ses fausses allures de bonhomie, Marleau continue de dynamiter l’image du policier classique à la française. Josée Dayan, la créatrice, s’amuse depuis la première saison à injecter une dose de loufoque dans ses intrigues, tout en soignant le suspense. Pour « Deux vies », elle orchestre, comme à son habitude, un microcosme où chaque personnage cache sa part d’ombre, et où la vérité finale bouscule nos certitudes sur la famille et l’identité.

Si la toile scénaristique peut rappeler certains classiques anglo-saxons – Columbo, Arabesque ou Midsomer Murders ne sont jamais loin à l’horizon – la patte Marleau reste résolument française : on rit, on frissonne, on s’attache. Cette réussite repose aussi sur le savant casting amateurs d’invités gigantesques, façon « super guests ». Ce soir, c’est Gustave Kervern qui tire particulièrement son épingle du jeu dans la peau de l’agriculteur Christophe, personnage trouble, bien loin de l’humour absurde de ses propres réalisations filmées.

Distribution de prestige dans l’épisode « Deux vies » de Capitaine Marleau

• Corinne Masiero, magistrale dans le rôle-titre
• Gustave Kervern, complice et trouble à souhait
• Mylène Demongeot, icône du cinéma hexagonal, dans l’un de ses derniers rôles marquants
• Pascal Légitimus, la touche d’humour en guest haut de gamme
• Frédérique Bel, Marina Golovine et toute une série de seconds rôles impeccables

En coulisse, l’alchimie apparente sur le plateau est bien réelle : selon plusieurs membres du casting, Josée Dayan laisse une large part à l’improvisation lors du tournage, ce qui donne des scènes au naturel rare pour un polar télévisé. La composante atypique du personnage de Marleau, entre compassion sincère et excentricité délurée, permet aussi d’aborder des sujets difficiles sans pesanteur, et parfois même avec une audace qui fait mouche.

L’impact Capitaine Marleau : une série culte du polar français sur France 2

Impossible d’ignorer le phénomène culturel que représente aujourd’hui Capitaine Marleau : avec des notes approchant 4/5 sur la plupart des plateformes, une fanbase fidèle, des passages en festival et une exposition médiatique massive, la série s’est imposée comme un véritable pilier du divertissement hexagonal. C’est aussi un passage obligé pour toute star du cinéma ou du théâtre qui souhaite toucher le plus grand nombre.

Cette popularité tient à plusieurs ingrédients que d’autres productions envient : la force du personnage principal (Corinne Masiero, mine d’énergie brute, s’est imposée malgré les doutes des premiers castings), le rythme réglé de main de maître de Josée Dayan, et l’envie constante de dépoussiérer le polar classique. On adore la liberté de ton, la galerie de personnages secondaires hauts en couleur, les clins d’œil savoureux à la littérature policière ou à la pop culture française, et cette façon de capter l’air du temps même dans les petits détails.

« Deux vies » s’inscrit dans cette veine : derrière le whodunit familial aux accents sombres, une réflexion sur la façon dont le mensonge et la dissimulation tissent les existences – et sur la force de la résilience et du pardon. Comme toujours, Marleau arrachera la vérité avec la délicatesse d’un bulldozer, mais c’est tout ce qu’on aime.

Ce soir, inutile d’aller voir ailleurs : France 2 mise sur un combo gagnant, et il y a fort à parier que les discussions du lendemain de diffusion tourneront autour des répliques cultes de la Capitaine ou du face-à-face hypnotique entre Corinne Masiero et Gustave Kervern.

Bref, Capitaine Marleau, c’est plus qu’un rendez-vous policier : c’est un miroir de la télévision française contemporaine, joyeusement irraisonnable, accessible, et jamais loin du génie populaire. Un must pour tous les mordus de série, qu’ils soient fan de polar, de satire sociale ou simplement curieux de voir ce que la fiction française a de plus vivant en 2025.